Une personne, que ce soit un enfant ou un adulte, qui se réveille la nuit, s'assoit ou se lève en faisant quelque chose d'inhabituel montre l'un des symptômes du somnambulisme. Il peut parler pendant ce temps. Bien qu'ayant les yeux ouverts, son regard reste inexpressif et inconscient. Dans un état avancé, le somnambulisme peut inciter la personne qui en est atteinte à marcher partout dans sa maison et à regagner automatiquement son lit. Cet état pathologique est fatigant malgré que le sujet en est inconscient. Il ne se souvient de rien à son réveil mais réellement, il a perdu beaucoup d'énergie pendant la durée de cette crise.
Le somnambulisme chez l'enfant
Le somnambulisme peut atteindre aussi bien l'adulte que l'enfant. Celui de l'enfant est courant surtout pour les garçons de 7 à 12 ans, mais la pathologie disparaît après la puberté. Les enfants somnambules parlent souvent pendant cette phase et peuvent effectuer des gestes inconscients (faire pipi n'importe où, dire des gros mots inconnus de son vocabulaire habituel,...). L'état de somnambule se manifeste pendant le sommeil. Le risque de chute ou d'autres accidents est accru dans cet état, étant donné que l'enfant est inconscient. De ce fait, les parents ont une responsabilité envers l'enfant. Il leur incombe de surveiller ou de prévoir les risques en prenant la peine d'accorder quelques attentions aux enfants pendant leur sommeil.
Le somnambulisme de l'adulte
Le somnambulisme peut être traduit comme des troubles du sommeil. Inconscient de ses actes, le somnambule agit sans se rendre compte de ce qu'il dit ou fait. Le cas d'un adulte peut résulter d'un évènement ou de faits qui se sont déroulés et qui ont profondément affecté l'individu. Cela peut également être le fruit d'une imagination débordante et engendrant des effets psychologiques énormes. La crainte et la peur sont les plus souvent les facteurs à l'origine. Enfant ou adulte, le somnambulisme peut aussi être le fruit d'un manque d'affection ou d'un traumatisme subi suite à des évènements familiaux tragiques.
Le somnambulisme à risque
La fréquence des crises peut être un facteur à risque. Un somnambule qui s'éveille pendant plus de dix minutes et plusieurs fois par semaine présente plus de risques. Cela est dû à l'état nerveux du somnambule. Pendant les manifestations des crises, le sujet est très nerveux et facilement irritable. Un individu atteint de cette pathologie peut être agressif et peut provoquer de graves accidents autour de lui. Il se peut que pendant la crise, il arrive à sortir de chez lui, à conduire un véhicule. Dans son état inconscient, il n'a pas le sens de la réflexion et agit ainsi involontairement.
Les causes du somnambulisme et les mesures à prendre face à ce cas physiologique
Le somnambule n'est pas un malade. Pour un enfant, généralement, c'est un phénomène temporaire qui disparaît progressivement à la puberté. Pour un adulte, c'est surtout le résultat d'une insuffisance de sommeil. Cela peut aussi être les effets secondaires d'une prise fréquente de somnifères, bien que ce soit rarement le cas. Il existe des cas héréditaires de somnambulisme. Dans tous les cas, le sommeil peut être le meilleur réparateur pour aider le sujet atteint de certaine pathologie à éviter le somnambulisme. Avant de demander des prescriptions médicales, l'entourage peut lui offrir le plus d'affection et lui accorder plus d'attention pour lui épargner ces pertes d'énergie causées par l'insuffisance de sommeil. Le respect d'une hygiène alimentaire saine peut être aussi un remède à cet état. La consommation d'alcool, de tabac, de boissons gazeuses, d'épices ou d'autres excitants est à bannir de l'alimentation. Les sorties nocturnes et les bruits sont à éviter autant que possible. Néanmoins en cas de crises trop fréquentes, il est nécessaire de demander une assistance médicale.
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Je viens d'aprendre qu'un enfant de mon village s'est défenestré en 2008 à l'âge de 16 ans du 3ème étage. Il a eu de multiples fractures et aussi le visage à reconstituer (2 opérations par an depuis).
C'est un miraculé, mais un drame pour les parents.
Sa mère a dû arrêter de travailler sans dédommagement.
Aujourd'hui qu'il a 22 ans, les frais d'orthodontie sont entièrement à la charge des Parents (implants pour refaire la dentition).
Quels recours ont-ils ?
Il semble qu'il y ait un vide juridique à ce sujet ?
Je viens d'aprendre qu'un enfant de mon village s'est défenestré en 2008 à l'âge de 16 ans du 3ème étage. Il a eu de multiples fractures et aussi le visage à reconstituer (2 opérations par an depuis).
C'est un miraculé, mais un drame pour les parents.
Sa mère a dû arrêter de travailler sans dédommagement.
Aujourd'hui qu'il a 22 ans, les frais d'orthodontie sont entièrement à la charge des Parents (implants pour refaire la dentition).
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