Ainsi, les spécialistes s'accordent à dire que le pénis adulte au repos doit mesurer au moins 7 cm, tandis qu'en érection, le phallus normal se situera entre 8 et 20 cm. Au-delà de 8 cm, on pourra parler de micropénis et une intervention chirurgicale est alors tout à fait recommandée. En terme de diamètre, le pénis moyen doit être de l'ordre de 3 à 5 cm en érection. En ce qui concerne la circonférence moyenne, elle ne devrait pas être inférieure à 5 cm au repos et 8.5 cm en érection.
Mais en dehors des cas où il y a réellement pathologie du micropénis, il arrive qu'il s'agisse tout simplement d'un trouble psychologique qui fait croire à la personne que son pénis est anormalement petit, alors qu'il n'en est rien : c'est le syndrome de la dysmorphophobie et c'est la raison pour laquelle la plupart des hommes qui ont recours à une intervention chirurgicale n'en ont pas vraiment besoin, puisqu'ils souffrent tout simplement d'une vision déformée par un trouble psychologique et d'un manque de confiance en soi.
La question du remboursement par la Sécurité sociale demeure épineuse dès lors que le critère principal de remboursement est difficile à cerner. En effet, l'aide sociale est attribuée dans le cas précis où le patient présente réellement une pathologie pénienne telle qu'une dysmorphie, une atrophie pénienne ou le cas de micropénis. Hormis ces cas précis, la Sécurité sociale ne prend pas en charge les interventions chirurgicales visant à faire gagner du volume ou de la longueur au pénis. Par exemple, lorsqu'un individu masculin dispose d'un sexe dans les normes mais qu'il souffre du syndrome du vestiaire qui se caractérise par une difficulté à se dénuder devant des congénères du même sexe, la Sécurité sociale se refuse à prendre en charge l'opération car elle considère que cela entre dans la catégorie des soins esthétiques. Une intervention chirurgicale n'est nullement nécessaire dans ce cas, d'autant plus que la Sécurité sociale rechigne à couvrir les frais de l'opération d'allongement du pénis en raison du fait que celle-ci est très coûteuse en allant de 3 000 à 4 000 euros. Un médecin accrédité auprès de l'Assurance-maladie vous examinera en dernier ressort pour trancher s'il y aura ou non remboursement par la Sécurité sociale.
Principe de l'allongement du pénis et méthodes d'intervention chirurgicale
Les méthodes d'allongement du pénis sont aujourd'hui très contestées du fait même que techniquement, le pénis en érection ne peut être allongé, que ce soit par une méthode chirurgicale ou par d'autres méthodes plus rustiques et controversées telles que les aphrodisiaques, les huiles de massage pénien ou diverses poudres… Il faut dire que ces méthodes sont pour la plupart de vastes opérations de filouterie qui ne reposent sur aucune base scientifique. Les techniques chirurgicales sont les seules à disposer d'une certaine crédibilité par rapport aux résultats attendus. En effet, bien que l'allongement du pénis en érection demeure pratiquement impossible, l'intervention chirurgicale permettra tout de même au pénis au repos de gagner quelques centimètres, ce qui contribuera à diminuer les complexes dont souffre le sujet, notamment le Syndrome du vestiaire. Dans ce cas, tout comme dans celui du micropénis, l'opération sera axée sur le ligament suspenseur du pénis que le chirurgien va sectionner afin de faire gagner quelques centimètres au sexe au repos. Dans le cas du micropénis qui est souvent associé à une surcharge pondérale, une plastie abdominale est souvent nécessaire pour éliminer la masse lipidique à la base du pénis au repos. Dans le cas du Syndrome du vestiaire par contre, en plus du ligament suspenseur sectionné, un élargissement du pénis est possible en injectant de la graisse prélevée sur une autre partie de votre anatomie à l'intérieur des corps caverneux et vous gagnerez ainsi en volume au repos et en érection.
Dangers et gênes occasionnés par l'allongement du pénis
Les méthodes d'allongement du pénis ne sont pas toujours sans risques, notamment pour ce qui est des méthodes chirurgicales. Le premier danger d'une intervention chirurgicale réside dans la probable insatisfaction que peut ressentir le sujet une fois l'opération terminée. En effet, il se peut d'une part qu'il ne trouve toujours pas son phallus assez long à son goût et d'autre part, qu'il soit finalement déçu que les quelques centimètres de plus obtenus ne seront visibles qu'une fois le pénis au repos. Il est en effet techniquement impossible de rallonger le pénis en érection car couper le ligament suspenseur ne permet pas d'agir sur les corps caverneux. En dehors de la frustration éprouvée par le patient, d'autres gênes sur le plan anatomique sont possibles : le sectionnement du ligament suspenseur n'est pas sans conséquences puisque des dysfonctionnements érectiles peuvent se produire et une impuissance subite se manifester de temps à autre. Le ligament suspenseur se régénère souvent au fil des années, anéantissant ainsi la raison d'être de l'intervention chirurgicale entreprise pour avoir un pénis plus long. Parfois aussi, des risques inhérents à l'opération tels que des infections sont à craindre. Cependant, l'intervention chirurgicale qui vise à couper une partie du ligament suspenseur n'est pas douloureuse.
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J' ai un sexe qui mesure 18,5centimetres en erection une base circonferentielle de 11 cm et un gland qui n' excede pas 4,5, je voudrais un sexe de 21 cm de longueur, un corps moyen , situe au milieu du sexe, egal a la base (12 cm) et un gland nettement superieur, est ce possible, sans ratage bien sur..., ?